Article très intéressant qui ne cache pas la complexité du personnage Trump ! Son ego d'abord ? On ne peut écarter cette réalité et cela ne nous rassure pas... On espère que Trump redescendra sur terre. Israël, une fois de plus, ne peut compter que sur lui-même.
Ah merci Evelyne. J'étais un peu triste que cette recherche soit passée un peu inaperçue. Pour le reste, j'aboutis aux mêmes conclusions que vous. On vit dans un monde redoutable.
Oeuvrer pour une paix scélérate entre Israël et le Hamas en contrepartie d'un prix nobel rien que pour damner le pion à Barak Obama, son ennemi intime, donne de Trump non seulement une image négative, voire détestable, mais encore en dit long sur la diplomatie américaine, à géométrie variable, toujours prête à trahir ses alliés pour rehausser son image internationale, en particulier auprès du monde arabe. Il semble que la signature des accords d'Abraham avec l'Arabie Saoudite ait transformé Israël en variable d'ajustement. C'est là un bien mauvais calcul car rien ne se fera durablement sans la participation d'Israël au Moyen Orient. Quoiqu'il advienne, il y a une leçon à tirer pour Israël qui doit apprendre à l'avenir à se passer de l'aide militaire américaine. Je l'avais déjà signalé dans mon précédent commentaire relatif à l'hypothèse d'une Amérique, ennemie d'Israël.
Article très intéressant qui ne cache pas la complexité du personnage Trump ! Son ego d'abord ? On ne peut écarter cette réalité et cela ne nous rassure pas... On espère que Trump redescendra sur terre. Israël, une fois de plus, ne peut compter que sur lui-même.
Ah merci Evelyne. J'étais un peu triste que cette recherche soit passée un peu inaperçue. Pour le reste, j'aboutis aux mêmes conclusions que vous. On vit dans un monde redoutable.
Merci Yves pour ces recherches d'informations que peu de médias diffusent.
La vision de Trump obnubilé par une reconnaissance narcissique à tout prix a de quoi nourrir les pessimistes.
Oeuvrer pour une paix scélérate entre Israël et le Hamas en contrepartie d'un prix nobel rien que pour damner le pion à Barak Obama, son ennemi intime, donne de Trump non seulement une image négative, voire détestable, mais encore en dit long sur la diplomatie américaine, à géométrie variable, toujours prête à trahir ses alliés pour rehausser son image internationale, en particulier auprès du monde arabe. Il semble que la signature des accords d'Abraham avec l'Arabie Saoudite ait transformé Israël en variable d'ajustement. C'est là un bien mauvais calcul car rien ne se fera durablement sans la participation d'Israël au Moyen Orient. Quoiqu'il advienne, il y a une leçon à tirer pour Israël qui doit apprendre à l'avenir à se passer de l'aide militaire américaine. Je l'avais déjà signalé dans mon précédent commentaire relatif à l'hypothèse d'une Amérique, ennemie d'Israël.
Qui l'eut cru
cru, participe passé du verbe croire, rien à voir avec crû, participe passé du verbe croître. Merci !
Corrigé
Merci. Pas de tiret non plus. :)